Colin O’Sullivan wins the “Prix Mystère de la critique” in France for “Killarney Blues”

Congratulations to Colin O'Sullivan, Winner of a prestigious crime fiction award in France: the Prix Mystère de la critique! Previous winners include: Don Winslow, Daniel Woodrell, Dennis Lehane, Boris Akunin, Donald E. Westlake, Henning Mankell, James Ellroy, Michael Connelly, Thomas Harris, and many other fabulous writers from around the world.

The Success of the French Edition of “Killarney Blues”

"Carried by a genuine writing talent, Killarney Blues is a Noir novel full of melancholy and unfulfilled dreams with a surprising glimmer of hope at the end. Without the slightest naivety. A revelation."  —Le Soir “A cathartic novel that ultimately creates positive emotions, like the blues can do. Poignant.” —booknode.com ­­ “A luminous novel that … Continue reading The Success of the French Edition of “Killarney Blues”

Review of “Killarney Blues” in Le Soir

Voilà à quoi ressemble Killarney à l’aube de ce siècle nouveau. Il y a des bagels. Et c’est le genre d’endroit dans lequel elles viennent prendre un café : un bistrot élégant, bien éclairé, minimaliste, avec des tableaux de bon goût sur les murs, des décorations végétales spectrales en forme de bâtons sur les tables et … Continue reading Review of “Killarney Blues” in Le Soir

Killarney Blues – Colin O’Sullivan

A wonderful review of the French edition of Colin O’Sullivan’s KILLARNEY BLUES!

Mille (et une) lectures de Maeve - Littérature irlandaise et autres trouvailles

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Traduit par Ludivine Bouton-Kelly

Bernard est jarvey dans la petite ville de Killarney, en Irlande, dans le comté du Kerry. Si vous connaissez Killarney, vous avez sûrement rencontré ces conducteurs de calèche qui promènent toute la journée les nombreux touristes. Pourtant Bernard est mis au ban de la bourgade : il est considéré un peu comme l’idiot du village. On découvre qu’il aurait peut-être une forme d’autisme Asperger (mais cela reste une supposition). Cet homme a une passion : le blues. Dès qu’il peut, il gratte sa guitare et chante (mais chez lui). Il est incollable sur tous les bluesmen américains. Une passion que lui a transmise son père, décédé. Bernard est amoureux depuis son adolescence de Marian, à qui il envoie régulièrement des cassettes de ses enregistrements.

Quand s’ouvre le récit, Bernard se fait rosser par des hommes, à la sortie d’un pub. On ne sait pas pourquoi. Des…

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